Scott Robertson : " L’effet sur le match qui nous attend est vraiment important.
Évidemment, jouer pour le trophée Dave Gallagher, qui signifie beaucoup pour nous et pour les deux pays, représente un héritage important, chargé d’histoire. Quelqu’un qui a tant donné pour notre pays a été évoqué cette semaine. Et revenir ici, où cela fait un moment que nous n’avons pas obtenu de résultat, montre à quel point cette rencontre est significative pour les deux équipes. C’est une grande occasion.
C’est une équipe difficile à cerner après la Coupe du monde, notamment en ce qui concerne leur trajectoire. Leurs forces principales restent les mêmes. Leur ADN, c’est qu’ils aiment jouer. Ils exploitent tout le terrain et, une fois qu’ils trouvent leur rythme, qu’ils réalisent des passes après contact et qu’ils avancent à travers vous, ils deviennent très difficiles à arrêter.
C’est une équipe très instinctive. Ils ont un équilibre entre le flair français et une discipline élevée, avec des joueurs de talent capables de vous punir. Par exemple, Ramos, qui peut marquer des points au pied, n’est-ce pas ? Nous sommes bien conscients de leurs atouts.
Oui, ils performent et sont sélectionnés. Il y a une grande diversité culturelle ici en France, et de nouvelles générations émergent en jouant un excellent rugby. Regardez l’équipe de Toulouse, c’est une équipe exceptionnelle, pour ne citer qu’eux.
J’observe beaucoup d’équipes et de joueurs polynésiens en France. Mauvaka, par exemple, ou encore des joueurs de Wallis et Futuna. Quelle belle histoire que celle-là. Ce sont des joueurs incroyables, et c’est ça la beauté du rugby : il rassemble le monde entier.
J’ai beaucoup appris avec Christophe Pourcu. Le style français est unique, que ce soit dans les entraînements, les mouvements ou leur manière d’envisager le jeu. Il y avait beaucoup de gestes et de discussions. J’ai appris ces gestes avant même de maîtriser la langue.
Les expressions comme *"Scott Joue"* ou d’autres étaient au cœur de cette approche. Passer d’un système très discipliné et structuré comme celui des All Blacks et des Crusaders à un environnement français, où ils apprécient un peu plus de spontanéité et de liberté dans le jeu, était un contraste saisissant. Ce n’est ni une mauvaise ni une bonne manière de jouer, juste une approche différente. Cela m’a beaucoup enrichi et a influencé ma façon de coacher.
Oui, absolument. La dernière fois, c’était il y a plus de 20 ans, en 2000. J’ai joué lors de cette même rencontre contre Fabien (Galthié), je crois. Cela rappelle des souvenirs, n’est-ce pas ?
C’est un endroit empreint de passion. La Marseillaise est une chanson très puissante, elle touche profondément les Français et suscite beaucoup d’émotion. L’atmosphère et les sensations dans ce stade sont uniques. C’est l’un des meilleurs endroits pour jouer au rugby dans le monde." #Rugby #XVDEFRANCE #NEFAISONSXV #franzl #allblacks #UBB #iloveubb #bordeaux #stadetoulousain #stfamily
Évidemment, jouer pour le trophée Dave Gallagher, qui signifie beaucoup pour nous et pour les deux pays, représente un héritage important, chargé d’histoire. Quelqu’un qui a tant donné pour notre pays a été évoqué cette semaine. Et revenir ici, où cela fait un moment que nous n’avons pas obtenu de résultat, montre à quel point cette rencontre est significative pour les deux équipes. C’est une grande occasion.
C’est une équipe difficile à cerner après la Coupe du monde, notamment en ce qui concerne leur trajectoire. Leurs forces principales restent les mêmes. Leur ADN, c’est qu’ils aiment jouer. Ils exploitent tout le terrain et, une fois qu’ils trouvent leur rythme, qu’ils réalisent des passes après contact et qu’ils avancent à travers vous, ils deviennent très difficiles à arrêter.
C’est une équipe très instinctive. Ils ont un équilibre entre le flair français et une discipline élevée, avec des joueurs de talent capables de vous punir. Par exemple, Ramos, qui peut marquer des points au pied, n’est-ce pas ? Nous sommes bien conscients de leurs atouts.
Oui, ils performent et sont sélectionnés. Il y a une grande diversité culturelle ici en France, et de nouvelles générations émergent en jouant un excellent rugby. Regardez l’équipe de Toulouse, c’est une équipe exceptionnelle, pour ne citer qu’eux.
J’observe beaucoup d’équipes et de joueurs polynésiens en France. Mauvaka, par exemple, ou encore des joueurs de Wallis et Futuna. Quelle belle histoire que celle-là. Ce sont des joueurs incroyables, et c’est ça la beauté du rugby : il rassemble le monde entier.
J’ai beaucoup appris avec Christophe Pourcu. Le style français est unique, que ce soit dans les entraînements, les mouvements ou leur manière d’envisager le jeu. Il y avait beaucoup de gestes et de discussions. J’ai appris ces gestes avant même de maîtriser la langue.
Les expressions comme *"Scott Joue"* ou d’autres étaient au cœur de cette approche. Passer d’un système très discipliné et structuré comme celui des All Blacks et des Crusaders à un environnement français, où ils apprécient un peu plus de spontanéité et de liberté dans le jeu, était un contraste saisissant. Ce n’est ni une mauvaise ni une bonne manière de jouer, juste une approche différente. Cela m’a beaucoup enrichi et a influencé ma façon de coacher.
Oui, absolument. La dernière fois, c’était il y a plus de 20 ans, en 2000. J’ai joué lors de cette même rencontre contre Fabien (Galthié), je crois. Cela rappelle des souvenirs, n’est-ce pas ?
C’est un endroit empreint de passion. La Marseillaise est une chanson très puissante, elle touche profondément les Français et suscite beaucoup d’émotion. L’atmosphère et les sensations dans ce stade sont uniques. C’est l’un des meilleurs endroits pour jouer au rugby dans le monde." #Rugby #XVDEFRANCE #NEFAISONSXV #franzl #allblacks #UBB #iloveubb #bordeaux #stadetoulousain #stfamily