Laurent Labit (Stade Francais) : "Le match de Toulon et celui de Pau ont été marqués par un faible temps de jeu, avec seulement 9 minutes. Cela ne relève pas d'un problème physique, mais plutôt d'une question de jeu. Lors de la deuxième mi-temps à Pau, nous avons été constamment sous pression à cause de notre mauvaise qualité de jeu au pied, ce qui nous a empêchés de sortir de notre camp. À Bordeaux, la première mi-temps avait été meilleure, mais à Pau, nous avons concédé 13 pénalités, dont neuf en seconde mi-temps, ce qui nous a contraints à jouer dans notre propre moitié de terrain.
Face à une équipe qui jouait à domicile, avec le soutien du public, nous avons ressenti une pression excessive. Ce phénomène s'est également produit lors de la deuxième mi-temps contre Vannes. Nous avons tendance à nous mettre trop de pression par rapport à la saison précédente. En observant tous les matchs, on constate qu'il y a beaucoup plus de points marqués cette saison. Toutes les équipes cherchent à conserver le ballon et à attaquer. Les nouvelles règles, notamment celles concernant les sorties et le jeu au pied, entraînent des contre-attaques fréquentes et des circuits de défense à gérer. Ainsi, nous ne faisons pas exception à cette tendance générale."
#RUGBY #TOP14 #SFPARIS #STADEFRANCAIS #SFParisRugby #SFP
Face à une équipe qui jouait à domicile, avec le soutien du public, nous avons ressenti une pression excessive. Ce phénomène s'est également produit lors de la deuxième mi-temps contre Vannes. Nous avons tendance à nous mettre trop de pression par rapport à la saison précédente. En observant tous les matchs, on constate qu'il y a beaucoup plus de points marqués cette saison. Toutes les équipes cherchent à conserver le ballon et à attaquer. Les nouvelles règles, notamment celles concernant les sorties et le jeu au pied, entraînent des contre-attaques fréquentes et des circuits de défense à gérer. Ainsi, nous ne faisons pas exception à cette tendance générale."
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